Par Bertrand Lamy
On sait tous qu’il n’y a pas d’âge pour se laisser aller au plaisir d’un ou deux (ou une dizaine) de bonbons. Si lors de notre enfance les bonbons représentaient le graal d’une bonne action (n’exagérons rien), un bonbon reste maintenant un petit plaisir sucré et légèrement chimique qui n’est (presque) jamais de trop. C’est un concept qu’ont bien saisi cette entreprise 100% québécoise qu’est La Boîte à Bonbons.
Si vous avez le goût de recevoir votre petit colis sucré de façon hebdomadaire sans devoir prendre la peine de sortir de chez vous ou sans sentir le regard de jugement de votre voisin de caisse à l’épicerie, La Boîte à Bonbons est faite pour vous. C’est donc quatre sachets de bonbons différents de qualité que vous recevez dans votre boite aux lettres à chaque mois. Sélectionnés selon vos préférences et changeants d’un mois à l’autre, voici le moyen de déguster de bonnes sucreries devant votre nouvelle série Netflix ou pendant vos heures de bureau, sans aucune difficulté et seulement avec du plaisir.
La Boîte à Bonbons c’est également le moyen d’offrir un cadeau 100% québécois et 100% agréable. Si vous souhaitez joindre une note de votre création avec votre petit colis que vous envoyez à votre petit frère ou petite sœur, à votre coloc ou à votre ami pour sa fête, tout a été pensé. De plus l’abonnement n’est aucunement définitif, si vous êtes tannés des sucreries, vous pouvez vous désister à tout moment.
En définitive, La Boîte à Bonbons vous rend heureux avec un joli paquet colorés et sucrés et vous offre la possibilité de partager cette joie avec qui vous le souhaitez car c’est le concept parfait pour un cadeau original et non couteux.
En tout cas n’oubliez pas, les bonbons n’ont pas d’âge, comme ceux qui les dégustent!
Après avoir complété ses études littéraires en France, Bertrand a mis le cap sur le Québec et plus particulièrement Montréal pour continuer ses études dans la communication. Amateur des médias contemporains et enjoué de la vie, Bertrand voit le beau dans tout ce qui l’entoure. C’est à sa façon que Bertrand nous partage sa vision de Montréal, au travers de ce qui lui apparait comme nouveau et attrayant comparé à la campagne Normande de laquelle il arrive.
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